Insolence VW connue et reconnue probablement en relation avec des temps où l'Allemagne se disait "über alles", une supériorité déchue, des lauriers fanés, une bonne leçon d'égo pour ces directions françaises perchées dans des tours d'ivoire que le scud a pourtant généreusement explosées, un peu comme les tours jumelles… Si les filiales du monde entier ont su avaler la couleuvre, VW France a encore mal à la gorge.
Le futur ex numéro 1 a trébuché et le temps ne suffira pas pour calmer les ardeurs de la tempête. Pas sûr que les clients français ne vont pas regimber un tantinet. Car trompés ils ont été et que faire désormais des voitures atteintes par le scandale.
Certains se sont déjà précipité dans les concessions qui ont vite fait bien fait enlevé toutes traces et donc toutes preuves. Et sans preuve, aucune indemnité possible. VW a menti. VW a trahi. VW a fauté. VW a merdé. Plusieurs centaines de milliers de propriétaires ont été bernés par un constructeur dont la réputation n'était plus à faire, du moins en apparence. Car lorsqu'on regarde de près une VW, ou une autre voiture du Groupe, on se dit que pour le même prix, il y a nettement mieux ailleurs.
Alors pourquoi le client prendrait-il le risque d'acheter aujourd'hui une VW? Pourquoi le client oublierait-il que VW n'a pas été digne en se fourvoyant dans des caniveaux purulents? Que vaut aujourd'hui une VW d'occasion virussée, non conforme? Qui, à part le constructeur lui-même, va prendre le risque de proposer une reprise invendable? Et si oui, à quel niveau de prix, sous quelle décote? Certains ont déjà perdu beaucoup en se précipitant chez une concurrence bienveillante certes, mais très business. Cher client, vous avez choisi VW? C'était votre droit! Mais aujourd'hui que vous n'en voulez plus…
Vous l'avez compris. A part quelques invétérés des marques allemandes qui croient encore, à tort, que le matos germanique est le meilleur, à part quelques pauvres incrédules qui sont déjà passés chez VW pour enlever le mal, à part quelques résignés qui vont garder longtemps leur monture, les autres clients doivent fuir pour plusieurs raisons. Personne ne peut prétendre que VW ne réitérera pas à un moment ou à un autre son accès de folie. Assoiffé de pouvoir et d'argent, VW n'a pas été le constructeur modèle qu'il prétendait être. Aujourd'hui, une VW est un risque. Le risque à l'achat avec la crainte de savoir si le modèle livré est bien conforme aux spécificités annoncées, le risque de payer plus cher un modèle que la concurrence équivalente vend meilleur marché, le risque aussi d'une sérieuse perte financière à la revente. La trahison a un prix.
VW a provoqué la rumeur! Et chacun sait qu'une rumeur est dévastatrice, destructrice et tenace… surtout quand elle est fondée, ce qui est le cas chez VW. Alors fuyez! ■
Le futur ex numéro 1 a trébuché et le temps ne suffira pas pour calmer les ardeurs de la tempête. Pas sûr que les clients français ne vont pas regimber un tantinet. Car trompés ils ont été et que faire désormais des voitures atteintes par le scandale.
Certains se sont déjà précipité dans les concessions qui ont vite fait bien fait enlevé toutes traces et donc toutes preuves. Et sans preuve, aucune indemnité possible. VW a menti. VW a trahi. VW a fauté. VW a merdé. Plusieurs centaines de milliers de propriétaires ont été bernés par un constructeur dont la réputation n'était plus à faire, du moins en apparence. Car lorsqu'on regarde de près une VW, ou une autre voiture du Groupe, on se dit que pour le même prix, il y a nettement mieux ailleurs.
Alors pourquoi le client prendrait-il le risque d'acheter aujourd'hui une VW? Pourquoi le client oublierait-il que VW n'a pas été digne en se fourvoyant dans des caniveaux purulents? Que vaut aujourd'hui une VW d'occasion virussée, non conforme? Qui, à part le constructeur lui-même, va prendre le risque de proposer une reprise invendable? Et si oui, à quel niveau de prix, sous quelle décote? Certains ont déjà perdu beaucoup en se précipitant chez une concurrence bienveillante certes, mais très business. Cher client, vous avez choisi VW? C'était votre droit! Mais aujourd'hui que vous n'en voulez plus…
Vous l'avez compris. A part quelques invétérés des marques allemandes qui croient encore, à tort, que le matos germanique est le meilleur, à part quelques pauvres incrédules qui sont déjà passés chez VW pour enlever le mal, à part quelques résignés qui vont garder longtemps leur monture, les autres clients doivent fuir pour plusieurs raisons. Personne ne peut prétendre que VW ne réitérera pas à un moment ou à un autre son accès de folie. Assoiffé de pouvoir et d'argent, VW n'a pas été le constructeur modèle qu'il prétendait être. Aujourd'hui, une VW est un risque. Le risque à l'achat avec la crainte de savoir si le modèle livré est bien conforme aux spécificités annoncées, le risque de payer plus cher un modèle que la concurrence équivalente vend meilleur marché, le risque aussi d'une sérieuse perte financière à la revente. La trahison a un prix.
VW a provoqué la rumeur! Et chacun sait qu'une rumeur est dévastatrice, destructrice et tenace… surtout quand elle est fondée, ce qui est le cas chez VW. Alors fuyez! ■